ALÉNA
North America Free Trade Agreement
Les ministres des Affaires étrangères des trois pays membres de l’ALENA ont convenu de se rencontrer de nouveau, quelques jours à peine après la fin de la sixième ronde de négociations de l’accord.
Les dossiers techniques avancent bien, mais c’est surtout sur les sujets qui fâchent que l’abcès a été crevé à Montréal.
Des syndicats et des groupes environnementalistes ont manifesté devant l’hôtel Bonaventure à Montréal, où se tenait la sixième ronde de la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain.
Le gouvernement canadien a formellement demandé à un groupe d’experts constitué en vertu du chapitre 19 de l’ALENA d’examiner les décisions récentes du gouvernement américain dans le dossier de Bombardier et celui du bois d’oeuvre.
La prochaine ronde de négociations pour le renouvellement de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALÉNA), à Montréal, durera plus longtemps que prévu.
Le Canada doit actuellement se défendre dans huit poursuites intentées par des entreprises qui totalisent plus de 475 millions en dommages réclamés.
Les partisans de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) ont poussé un soupir de soulagement en prenant connaissance de commentaires rassurants du président Donald Trump, qui semble moins enclin à se retirer de l’entente commerciale.
Deux vidéos pour mieux démontrer et expliquer que l’ALÉNA constitue un obstacle a la poursuite des objectifs de protection de l’environnement et de lutte aux changements climatiques.
Rassemblement le samedi 27 janvier à midi !
En diffusant leur culture alimentaire au Mexique ou au Canada, via leurs accords commerciaux, les Etats-Unis ont une responsabilité considérable dans la progression de l’obésité dans le monde.
Lors du tour de négociations qui s’est achevé cette semaine, Washington a proposé de réduire la responsabilité des plates-formes Internet. Pour le Canada et le Mexique, cela n’a rien à faire dans un traité commercial.
La cinquième ronde de négociations pour renouveler l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) s’est achevée sur des impasses persistantes dans les dossiers les plus litigieux.
La nouvelle liste des États-Unis reflète ses positions plus fermes et rappelle que les prochaines discussions seront difficiles, alors que les trois pays signataires cherchent à trouver un terrain d’entente afin de conclure un nouvel accord.
La société ferroviaire américaine Omnitrax a menacé de saisir le tribunal d’arbitrage prévu par l’Accord de libre-échange nord-américain (Aléna) pour régler le désaccord qui l’oppose au gouvernement canadien sur la réparation d’une voie de chemin de fer.
Une grande partie du problème tient aux traités bilatéraux et aux dispositions sur l’investissement inscrites dans les accords commerciaux plus généraux.
Le Canada se rabat sur l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) pour mettre fin aux droits compensateurs que lui imposent les États-Unis sur le bois d’œuvre.
L’ALÉNA fait partie de cette structure juridico-politique de domination. Il n’existe aucun point commun entre les droits humains et les droits des entreprises ; on assiste à une profonde rupture de la hiérarchie et de la pyramide normative du système de protection des droits humains.
Les représentants des Etats-Unis et du Canada se sont mutuellement accusés de saboter la renégociation de l’Accord de libre-échange nord-américain même si les deux pays et le Mexique ont accepté de poursuivre les discussions jusqu’en mars 2018.
Les États-Unis ont réclamé un affaiblissement important des mécanismes de règlement des différends prévus à l’Accord de libre-échange de l’Amérique du Nord (ALENA).
Les États-Unis ont commencé à torpiller la table de négociations de l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA) avec leurs demandes impossibles, au moment où le processus entre dans sa phase la plus difficile.